Les industriels qui en font toujours plus pour augmenter leur marges au dépend d’absolument tout le reste, chapitre 3125.
Titre un peu putaclick, vu ce que dit l’historien interrogé dit lui même que les ournalistes n’ont pas à faire un travail d’historien
« Les sources, latines, étaient difficiles d’accès, pardonne-t-il.* Ce n’est pas le boulot des journalistes. *»
Ce n’est pas non plus le boulot des journalistes de répéter bêtement le discours fantasmé des industriels
Je ne pense pas qu’on puisse dire que c’est racoleur, le titre est assez factuel. Et même si les journalistes ne pouvaient évidemment pas faire le travail d’un historien, on peut attendre d’eux qu’ils prennent un peu de recul face à un discours publicitaire et qu’ils fassent preuve de prudence. Il y a de la marge entre aller fouiller des sources latines dans un domaine auquel on ne connait rien, et écrire naïvement dans un article que les chocapics sont nées quand le grand barrage de chocolat a inondé les champs de blé, juste parce que des communiquants de Nestlé l’ont dit — exemple inventé :-).
Après, je ne suis pas journaliste, c’est facile pour moi de dire ça. Je ne me rends pas bien compte de ce qu’il est possible de faire en pratique, en fonction de leurs conditions de travail.
Merci pour le partage!